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"Inde : les enfants de la mine"

Vidéo # 3024 en Français () insérée le Dimanche 28 Août 2011 à 9h 15m 25s dans la catégorie "Pauvreté, Misère, SDF, et Charité"

Durée : non renseignée


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Cette vidéo est un reportage de l'émission française "66 minutes" sur ces enfants en Inde qui travaillent dans des mines pour extraire du charbon.

Synopsis :

Dans les mines de charbon du Meghalaya, en Inde, des enfants travaillent au péril de leur vie dans les galeries souterraines afin d'extraire le précieux minerai. Insuffisance en oxygène et risque d'éboulement permanent, ces jeunes mineurs côtoient la mort au quotidien afin de gagner un peu d'argent, 15 Euros par jour, soit le double du salaire minimum en Inde.

Source : M6 ().

Compléments :

Sur les 215 millions d'enfants contraints au travail dans le monde selon le dernier rapport publié en mai par l'Organisation internationale du travail (OIT), 115 millions exercent une des "pires formes de travail". Le travail dans les mines, comme il existe en Inde, mais aussi au Mali ou au Gabon, entre bien sûr dans cette définition, au même titre que les travaux exposant à des produits chimiques ou impliquant des horaires de nuit ou excessifs. Parmi eux, 62 millions, dont une majorité de garçons, ont entre 15 et 17 ans.

Si le nombre des enfants astreints au travail a baissé, en particulier parmi les 5-14 ans, celui des jeunes effectuant des travaux dangereux a progressé de 20 % entre 2004 et 2008.

Surplombant les vallées verdoyantes du Meghalaya, Etat du nord-est de l'Inde, les mines de Soo Kilo sont redoutées comme l'enfer. Sur la route qui y mène, il faut longer des camions accidentés, renversés sur le bas-côté, avec "La vie n'est pas éternelle" peint sur la carrosserie, en dépasser d'autres en panne, essieux cassés ou pneus crevés, et, enfin, s'enfoncer dans les nuages. Dans le village de Jowai, la boue a remplacé le bitume et les échoppes ne vendent plus que des parapluies, des pelles, et de l'alcool. Des monticules de charbon s'étendent à perte de vue sur une terre dépouillée de ses arbres et de sa végétation. Les galeries souterraines sont si nombreuses que le sol se lézarde, comme s'il allait bientôt s'effondrer. C'est là que des milliers de petites mains sortent des millions de tonnes de charbon des entrailles de la terre.

Le travail des enfants est interdit en Inde. Le pays a même adopté récemment une loi sur la scolarité obligatoire dès l'âge de 6 ans. Ici, les adolescents âgés de 14 et 15 ans viennent aussi des régions voisines, du Népal et du Bangladesh. D'après l'ONG Impulse Network, basée à Shillong, la capitale du Meghalaya, ils seraient plus de 70 000 à travailler dans les galeries noires des mines, véritables trous à rats.

C'est pour eux et les 115 millions d'enfants encore soumis à des travaux dangereux que l'Organisation internationale du travail organise, samedi 12 juin, la "Journée mondiale contre le travail des enfants", en appelant à définitivement éliminer cet esclavage moderne.

Accroupis autour de marécages à l'eau saumâtre, les enfants de Soo Kilo grattent les poussières de charbon qui leur collent à la peau. Bejay Rai, un adolescent qui dit avoir 17 ans mais paraît bien plus jeune, forge ses outils sur un feu improvisé. "Je veux être prêt pour demain, quand je vais partir au travail", explique-t-il. Dans les mines, à l'exception des grues qui remontent les bennes de charbon des galeries souterraines, ce ne sont pas les machines qui font le travail. Hommes et enfants coûtent moins cher. Dès l'aube, tous descendent un petit escalier rafistolé en bambou, glissant et bringuebalant pour se retrouver jusqu'à 70 mètres sous terre. Ils s'enfoncent dans leurs trous à rats, une lampe torche au front, traînant derrière eux un chariot de la taille d'un cercueil pour enfant. Dans les galeries étroites, de la largeur de leurs épaules chétives, le souffle est court car l'oxygène manque. Mais mieux vaut creuser sans s'arrêter car ici les mineurs sont payés à la quantité de charbon extraite. Les petits bras récoltent 6 euros par jour, les plus âgés peuvent espérer gagner jusqu'à 13 euros. "C'est beaucoup, comparé à ce que l'on peut gagner au Népal", reconnaît Bejay Rai. Mais depuis huit mois que l'adolescent est arrivé ici, il n'est pas parvenu à économiser une roupie.

Ici, nourriture, alcool, jeu et prostituées se paient cher. "Il y a même de la drogue qui circule pour aider à tenir", témoigne Hasina Karbih, directrice de l'ONG Impulse Network. Sundar Tamang, un gamin de 15 ans au corps chétif, a déjà les mains calleuses d'un travailleur aguerri. Il a fui sa famille, au Népal, il y a six mois, en pensant que "l'argent poussait aux arbres" dans les collines de Jainta, là où fourmillent les mines, comme celle de Soo Kilo. Il attend de réunir les 150 euros empruntés auprès de l'intermédiaire qui l'a amené jusqu'ici, pour retourner dans son village. Sundar Tamang sait qu'il va devoir encore travailler de longs mois ou moins, s'il décide d'aller chercher le charbon dans des galeries profondes. Celles où la mort est proche mais les salaires plus élevés.

Parfois une benne tombe, écrasant les hommes au fond de la mine. D'autres meurent sous des écroulements de galeries ou se noient lorsque la pluie de la mousson arrive par surprise et inonde les trous à rats. Certains survivent mais des corps restent sous terre. Si les victimes sont identifiées, et le manager généreux, les frais de rapatriement des corps sont pris en charge. Si les cadavres restent anonymes, ils finissent enterrés dans un petit lopin de terre des alentours que la communauté népalaise a acheté. "Dans les mines, la mort frôle la vie, elle lui court après", lâche un mineur. Les blessés graves ont peu de chance de s'en sortir, avec le premier hôpital à trois heures de route et le médecin le plus proche qui n'a que du paracétamol et des compresses à proposer. Tous pensent à la mort, surtout les enfants. "J'ai peur d'étouffer quand je descends, ça me fait un peu mal au ventre, mais j'imagine qu'on doit s'y habituer", lâche un adolescent, qui n'ose pas encore descendre tous les jours.

Les managers sont là pour faire oublier la peur en fixant des objectifs précis de production. Purna Lama, costume rayé et casquette américaine qui lui tombe sur les yeux, préfère employer des adultes. "Question de productivité ", explique-t-il. Il a ses propres méthodes : "Si les mineurs atteignent leurs objectifs, je leur donne un canard, de la nourriture gratuite pour une semaine, un radio-réveil ou une montre." D'autres préfèrent réduire les coûts en recrutant des enfants. "Ils sont moins productifs mais ils conviennent bien à certaines tâches", avoue l'un d'entre eux, qui tient à rester anonyme. L'homme se rend dans les villages de l'Assam, un Etat voisin, recruter les enfants auprès de leurs familles. En échange, il donne aux adultes 30 euros, qu'il vient reprendre si jamais leur fils cesse de travailler.

Mais comment expliquer que les mines ne soient pas fermées pour travail illicite des enfants ? "Leurs propriétaires sont en grande majorité ceux qui votent les lois au Parlement régional", soupire Patricia Mukhim, directrice du journal local The Shillong Times. Les inspecteurs du travail ? Ils sont sept pour tout l'Etat du Meghalaya et ne possèdent même pas de véhicules. La police ? "Elle est tellement loin que si un ouvrier se fait lyncher, il sera mort depuis longtemps avant leur arrivée", ricane Purna Lama.

Le charbon sort des mines par millions de tonnes mais l'argent arrive au compte-gouttes. "Les riches propriétaires ne réinvestissent pas l'argent, ils préfèrent acheter des voitures ou se construire des maisons", explique Wonderful Shullai, qui possède des mines. Wonderful, chaussures de cow-boy aux pieds et gilet en jean sans manches, explique vivre modestement. Et les plus aisés ? "Ils se lancent en politique, ça rapporte beaucoup une fois qu'on est élu, et puis ça protège", concède -t-il.

Au Meghalaya, la loi sur l'exploitation des mines n'a toujours pas été votée au Parlement. Le charbon des mines de Jainta Hills fait fonctionner les cimenteries des environs, chauffe des milliers de foyers, mais à Jowai, il ne sert à rien de tout cela. Les murs des cahutes sont fabriqués avec les emballages métalliques de bidons d'huile cloués les uns sur les autres. "C'est un enfer dont on ne se sort pas facilement", explique un ancien mineur. Lui s'en est sorti en vendant, à Jowai, des billets de bus pour le Népal : "Beaucoup rentrent chez eux en disant que la mine, c'était le paradis. On préfère garder l'enfer pour soi et sauver son honneur."

Source : Internet.

Un excellent documentaire qui témoigne sans fard d'une crue réalité que même les autorités indiennes nient et ne veulent pas voir.


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