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"Faux départ - Enquête sur les expériences de mort imminente"
Vidéo # 3619 en Français () insérée le Dimanche 15 Janvier 2012 à 1h 25m 15s dans la catégorie "Spiritualité, Ésotérisme, Paranormal, et Symbolisme"
Durée : non renseignée
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Cette vidéo est un film documentaire de 2010 écrit et réalisé par Sonia Barkallah sur les expériences de mort imminentes.
Qui est Sonia Barkallah ?
En 2006, Sonia Barkallah crée S17 PRODUCTION qu'elle dirige depuis. Elle a initié et organisé les premières rencontres internationales sur l’expérience de mort imminente qui se sont déroulées le 17 juin 2006 à Martigues. Ce colloque a réuni les plus grands experts internationaux sur le sujet et attiré plus de 2000 participants.
C’est à la suite du visionnage d’un film documentaire sur les EMI en 1999 qu’elle décide de se lancer elle aussi dans la réalisation d’un film consacré à ce même sujet. En 2002, elle entame une investigation qui durera quatre ans. Lors de cette enquête, le manque de communication entre les chercheurs lui apparait comme une évidence et provoque une prise de conscience.
Elle organise le colloque de Martigues en 2006 afin de faire le bilan des 30 dernières années de recherches et de mettre en relation les chercheurs afin qu’ils puissent échanger et faire partager au public le résultat de leurs recherches et réflexions. Le premier objectif de Sonia Barkallah est d’encourager et de promouvoir la recherche sur les EMI et la Conscience.
Suite au colloque de Martigues, elle convainc le Dr Eric Dudoit, Psychologue clinicien à l’hôpital de la Timone à Marseille, puis le Dr Jean-Pierre Postel, Anesthésiste- Réanimateur au centre hospitalier de Sarlat, de se lancer dans la recherche. Peu après naît l’idée de la création d’un centre de recherche dédié à la question de la conscience : elle initie et fonde avec le Dr Jean-Pierre Postel le CNERIC (Centre national d’études, de recherches et d’information sur la conscience) en avril 2009.
En 2009, elle achève son film documentaire «Faux Départ», aboutissement d’un projet né 7 ans plus tôt.
Synopsis :
Trente années se sont écoulées depuis que le Dr Raymond Moody a recueilli les premiers témoignages de ceux qui ont frôlé la mort. Ils sont des millions à travers le monde à nous raconter la même histoire troublante, comme la sensation de se détacher de son corps, assister à sa propre réanimation, entendre les chirurgiens parler entre eux, puis traverser un tunnel au bout duquel se trouve une extraordinaire lumière. Cette expérience a bouleversé leur vie, au point qu’ils ne craignent plus la mort.
Longtemps considéré comme obscur et assujetti aux railleries, le phénomène intéresse aujourd’hui de nombreux scientifiques, qui s’interrogent : Comment ces personnes ont-elles pu percevoir et mémoriser des scènes de leur réanimation alors qu’elles étaient inconscientes, dans le coma et parfois déclarées morte cliniquement ?
Ils sont Cardiologues, Neurologues, Anesthésistes-Réanimateurs, Médecins ou Psychologues, certains conduisent une étude, d’autres ont vécu eux-mêmes une expérience de mort imminente. Ils témoignent sans complexe pour lever un tabou qui se révèle être une mine de connaissance pour la science et pour l’Homme. Le colloque sur les EMI organisé en juin 2006 à Martigues a permis de franchir un nouveau pas. Pour la première fois en France, deux centres hospitaliers ont débuté une recherche.
Une nouvelle page de l’histoire des sciences s’écrit depuis une dizaine d’années suite à de nombreuses études menées à l’étranger et qui abandonnent définitivement l’hypothèse de l’hallucination pour s’orienter vers une possible délocalisation de notre conscience : l’ombre d’un nouveau paradigme se profile.
Source : Internet.
Interview de la réalisatrice :
Comment est né le projet de Faux Départ ?
Sonia Barkallah : J’ai vu en 1999 le film documentaire réalisé à partir du livre de Raymond Moody, « La vie après la vie ». J’ai eu un choc et cela m’a rappelé des expériences que j’avais vécues étant plus jeune ainsi que certaines lectures puisque j’avais découvert le livre de Moody à l’âge de 11 ans. Mais en voyant le film, j’ai réalisé à quel point ces témoignages avait un effet presque « thérapeutique » sur moi, car je me posais beaucoup de question sur la vie et la mort. La décision a germé en moi, il fallait que je réalise un film pour faire connaître au plus grand nombre ces expériences extraordinaires qui transforment la vie de ceux qui les vivent, mais aussi de ceux qui les étudient.
Pourquoi avoir organisé le colloque de Martigues en juin 2006 avant de faire votre film ?
Sonia Barkallah : En fait, lorsque j’ai débuté mon enquête pour le film en 2002, j’ai rencontré plusieurs témoins, médecins et chercheurs qui s’intéressaient au sujet et j’ai constaté à quel point ces derniers étaient isolés les uns des autres. Ils travaillaient chacun dans leur coin, au sein d’associations différentes, et en plus ils étaient trop peu nombreux à se pencher sur ce sujet. J’ai constaté qu’il existait un déficit majeur d’information à la fois au sein du grand public et de la communauté médicale et scientifique. C’est pourquoi j’ai pris l’initiative d’organiser un colloque international qui réunirait les principaux chercheurs sur ce thème autour de la figure emblématique qu’est Raymond Moody. De plus, réunir tous ces chercheurs en un seul lieu me permettait de les avoir sous la main pour mon film !
Le succès du colloque semble avoir dépassé vos espérances.
Sonia Barkallah : C’est vrai, car nous avons réuni plus de 2000 personnes qui ont fait le déplacement depuis la France entière mais aussi de l’étranger, alors que nous n’avions pas les moyens de communiquer dans la grande presse pour annoncer l’événement. Tout s’est fait grâce à internet et quelques médias comme Sud Radio qui nous ont soutenus. Le colloque a permis de montrer que le sujet était sérieux, loin du « paranormal », et que les chercheurs qui travaillaient dessus étaient des scientifiques tout à fait rigoureux. Nous avons aussi constaté que de nombreux professionnels de santé s’y intéressaient mais n’osaient pas en parler car ce sujet est encore tabou, puisqu’il touche à nos représentations de la mort, et donc à des questions spirituelles. En fait, en modifiant notre conception de la mort, c’est un sujet qui nous parle surtout de la vie, et de la conscience, qui est une grande question scientifique aujourd’hui.
Quelles ont été les retombées du colloque de Martigues ?
Sonia Barkallah : Il y a eu une importante couverture médiatique internationale car l’AFP a consacré deux dépêches au colloque, des dizaines d’articles dans de nombreux pays, un reportage au journal de 20h de France 2, etc. Tout cela a permis de crédibiliser le sujet et de montrer qu’il fallait poursuivre la recherche. C’est d’ailleurs mon objectif principal car les réponses ne peuvent venir que du côté de la science, même s’il s’agit aussi de questions spirituelles et philosophiques. Après le colloque, j’ai donc décidé de poursuivre mon enquête pour le film en rencontrant d’autres chercheurs, y compris ceux qui se montrent « sceptiques » sur l’hypothèse d’une délocalisation et d’une survie de la conscience.
Votre film est très attendu, notamment par ceux qui étaient à Martigues. Pourquoi la finalisation a-t-elle pris du temps ?
Sonia Barkallah : J’aurai dû terminer mon film en 2008, date du premier montage. J’ai fait toute la post-production à Montréal mais mon inexpérience, car c’est mon premier documentaire, a fait que je n’avais pas tous les éléments ni le financement pour le terminer. J’ai alors rencontré d’autres témoins comme Irène Badini, une personne non-voyante lors de son expérience et qui a vu deux jeunes internes lui dérober ses bijoux au cours d’un examen médical. Puis j’ai aussi fait la connaissance du Dr Jean-Pierre Postel, anesthésiste-réanimateur. Enfin, j’ai intégré dans mon film des animations 3D car « Faux Départ » présente des tentatives de modélisation pour les hypothèses de délocalisation de la conscience, dans un objectif pédagogique. J’ajoute que les chaînes de TV auxquelles j’ai proposé le film ont tardé à me donner une réponse. Cela m’a valu des déboires financiers importants, mais aujourd’hui des solutions ont été trouvées.
Source : Internet.
Les intervenants du film :
Dr Raymond Moody, Psychiatre et philosophe
En 1976, le psychiatre américain Raymond Moody publiait « La vie après la vie ». Traduit en 26 langues et vendu à 20 millions d’exemplaires, son livre a ouvert une voie de recherche phénoménale sur les expériences de mort imminente.
Plus de 30 années se sont écoulées, les tabous sont levés et les témoignages affluent encore plus nombreux et troublants.
Aujourd’hui, des études cliniques sont menées par des neurologues, des médecins, des cardiologues et des réanimateurs. De nouvelles pistes semblent confirmer leurs hypothèses.
Dr Pim van Lommel, Cardiologue
Les médicaments de type kétamine et les endorphines n’expliquent pas les EMI.
Le cardiologue néerlandais Pim van Lommel a mené une étude dans dix hôpitaux des Pays- Bas, sur 344 patients ayant survécu à un arrêt cardiaque. Les résultats de l’étude révèlent qu’il n’y a aucune corrélation entre la fréquence des EMI et les médicaments administrés, la peur de la mort avant l’expérience, la connaissance préalable des EMI, ni même la religion, ou l’éducation.
Cependant, une expérience de mort imminente est plus fréquemment rapportée par des patients d’âge inférieur à 60 ans, ce qui peut impliquer la nécessité d’avoir une bonne mémoire pour pouvoir rapporter ce vécu. Cette étude à été publiée dans la revue médicale « The Lancet » en décembre 2001. Ces interrogations amènent certains chercheurs depuis quelques années à s'interroger sur la conscience. Est-elle vraiment localisée dans notre cerveau ? « Ce concept a toujours été admis mais n’a jamais été prouvé scientifiquement », précise le Dr Pim Van Lommel lors de sa conférence au colloque de Martigues.
Pr. Olaf Blanke , Neurologue
Un dysfonctionnement du cerveau ?
En activant par des électrodes une zone du lobe temporal droit du cerveau d'une de ses patientes atteinte d'épilepsie, le neurologue suisse Olaf Blanke s'est rendu compte par hasard qu'il provoquait chez elle des sensations de flottement et d'élévation, typiques des sorties hors du corps qui correspondent à la première phase des expériences de mort imminente. Le Pr Blanke émet l’hypothèse que cette expérience serait la conséquence d’un trouble de l’intégration des informations sensorielle dans la jonction temporo-pariétale droite du cerveau.
Irène Badini, témoin
Voir sans les yeux ?
C’est lors d’un accident de voiture qu’Irène Badini a perdu l’usage de ses yeux pendant plusieurs années. Alors qu’elle était dans le coma et non voyante au moment des faits, Irène a perçu deux internes qui lui dérobaient ses bijoux lors d’un examen radiologique. Elle a pu récupérer ses bijoux grâce à la description précise des deux internes qu’elle donna au responsable de l’hôpital.
Les chercheurs face à un nouveau paradigme ?
Traquer la conscience pour savoir où elle se trouve, tel est l’objectif de nombreux chercheurs à travers le monde comme le Dr Sam Parnia, Peter Fenwick et le Dr Jean-Pierre Postel, anesthésiste réanimateur, chef de service à l’hôpital de Sarlat en Dordogne. Sam Parnia a lancé une étude en Grande-Bretagne en 2001 avec un protocole de « cibles cachées » dans les services de réanimation (visibles seulement du dessus). Son protocole a été affiné et relancé pour être conduit depuis 2008 dans 25 hôpitaux en Amérique du Nord et en Europe.
Dr Jean Pierre Postel, anesthésiste-réanimateur au centre Hospitalier de Sarlat
« Je pense que nous sommes à une époque qui évolue beaucoup en matière d’interrogations sur la vie. Nous avons connu le XXe siècle, une page est tournée et je pense que l’on ira de plus en plus vers les questions fondamentales avec des moyens d’y répondre, ce que l’on n’avait pas forcément avant », souligne le Dr Jean-Pierre Postel. Pour cela il a fallu mettre au point un protocole sans faille. L’idée principale consiste à disposer une cible dans une boîte ou une enveloppe scellée placée dans le service des urgences et dans quelques chambres de réanimation de l’hôpital de Sarlat. « L’objectif n'est pas de montrer l’existence réelle d’une vie post-mortem, mais la possibilité d’un mode non-standard de perception de la conscience aux approches de la mort », ajoute Jean-Pierre Postel. Concrètement cela signifie que si, lors d’un arrêt cardiaque par exemple, la personne parvient à voir la cible cachée, nous serons alors face à un nouveau paradigme qui risque fortement de remettre en cause quelques fondements de la science.
Dr Eric Dudoit, Psychologue Clinicien au Centre Hospitalier Universitaire de la Timone à Marseille
A l’hôpital de la Timone à Marseille, et plus particulièrement au sein de l’unité de soins et de recherche sur l’esprit dirigée par le Dr Eric Dudoit, psychologue clinicien, l'objectif est de reprendre la recherche depuis le début en essayant d'obtenir une validation française de l’échelle d’évaluation clinique de Greyson, qui consiste en l’analyse de l’expérience vécue, puis l’observation du changement de valeurs du sujet et enfin son impact sur l’entourage. « Nous pourrions vraiment ouvrir toutes les questions de psychopathologies sur ce qui fait qu’un être humain ne se sent pas bien, est atteint de névrose, voire de psychose. Est-ce qu'il n’y aurait pas là un problème de délocalisation de la conscience qui n’arriverait pas à se rétablir », se demande le Dr Eric Dudoit.
Quelles en seraient les implications ?
« Cela apportera un jour nouveau sur la conception de la pensée, sur ce qu’est l’être humain par rapport à l’univers. Quelle est sa place ? Existe-t-il autre chose ? Je crois que la physique quantique nous a ouvert pas mal de voies, et il est permis de penser que la vie humaine n’est qu’une étape », estime le Dr Jean-Pierre Postel.
Il est certain que si l’hypothèse selon laquelle la conscience fonctionnerait indépendamment de notre cerveau venait à être validée, cela aurait des conséquences incalculables. Toutes nos références s’effondreraient ; il s'ensuivrait une révolution plus importante que l'héliocentrisme, et cela aurait des implications dans tous les domaines. Nous savons également qu'à la suite de cette expérience certaines personnes ont eu des rémissions spectaculaires de maladies graves. N’y a-t-il pas là aussi des pistes à explorer pour la recherche ? Pour aller plus loin, nous pouvons imaginer qu’en comprenant mieux la conscience, son fonctionnement et sa nature, nous pourrons mieux comprendre les maladies liées à ses dysfonctionnements, telles que les maladies psychiatriques, la schizophrénie, la dépersonnalisation, etc.
L’hôpital de Sarlat et l’hôpital de la Timone, deux centres hospitaliers précurseurs qui vont peut-être nous apporter des explications sur ce phénomène et nous permettre de l’associer enfin soit à un mythe, soit à une réalité.Source : Internet.
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Le 21 Février 2013, vers 11h00, ma chaîne
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