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"La face cachée de Reporters Sans Frontières - De la CIA aux faucons du pentagone" par Maxime Vivas
Vidéo # 4840 en Français () insérée le Jeudi 17 Janvier 2013 à 5h 22m 16s dans la catégorie "Médias, Multimédia, Informatique, et Réseaux"
Durée : 52 min 54 sec
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Cette vidéo est un entretien de Maxime Vivas, auteur du livre "La face cachée de Reporters Sans Frontières - De la CIA aux faucons du pentagone", animé par René Balme.
Qui est Maxime Vivas ?
Maxime Vivas (né en 1942 à Cruéjouls dans l'Aveyron) est écrivain et cyber-journaliste français.
Biographie :
Deuxième de six enfants d'une famille d'origine espagnole, d'un père mineur aragonais et d'une mère cantinière catalane, il passe son enfance à Albias dans le Tarn-et-Garonne, où sa famille s'installe quand il a cinq ans. C'est là, à l'école laïque, qu'il apprend à lire et à écrire. Il montre déjà quelques prédispositions pour le français. Il est ensuite élève du collège P. Darasse de Caussade.
Il n'est pas question pour lui, à cette époque, d'écrire, ambition étrangère à son milieu. Il est postier à Montauban puis au centre de tri de Paris Brune. Son roman Paris Brune, paru en 1997, dix ans après la fermeture du centre de tri, met en scène le personnage collectif des agents qu'il a côtoyés. Il lui vaudra le prix Roger Vailland et l'étiquette d'« écrivain » des PTT.
Dans les années 1980-1990, il est ergonome européen dans une grande direction de France Télécom délocalisée à Blagnac, près de Toulouse, et concepteur de formations en ergonomie et sécurité. Il est aussi référent littéraire d'ATTAC-France.Venu tardivement à l'écriture, il publie dans la littérature « blanche » (essais, romans, nouvelles) et dans la « noire » (romans policiers).
En 2007, il publie La face cachée de Reporters sans frontières, ouvrage dans lequel il dénonce RSF en raison de son financement par de riches donateurs privés et par les États-Unis, sa propagation de fausses nouvelles utiles à ce dernier pays et son mutisme sur la concentration de la presse dans les mains des puissances financières.
Lors des élections européennes de 2009, il soutient Jean-Luc Mélenchon, le Parti de Gauche, et le Front de gauche.
L'année 2011 voit la publication de "Dalaï-Lama - Pas si ZEN", un pamphlet dans lequel, pour reprendre les termes de la présentation éditoriale, Maxime Vivas « dresse un portrait au vitriol de "Sa Sainteté" en s'appuyant sur les propos mêmes du dalaï-lama, les témoignages de prosélytes ainsi que des observations faites lors d'un voyage journalistique dans la région autonome du Tibet organisé par le gouvernement tibétain régional.
En 2012, il soutient publiquement Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à l'élection présidentielle, appelant à voter pour lui dans un appel signé par 50 auteurs de polars.
Maxime Vivas vit aujourd'hui dans les collines du sud de Toulouse après vingt ans passés à Paris. Il est coadministrateur du site d'information alternative legrandsoir.info et il anime une émission culturelle hebdomadaire sur Radio Mon Païs à Toulouse.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Maxime_Vivas ().
Le mot de l'éditeur :
Voici, détaillés dans ces pages, les fréquentations douteuses, les financements honteux, les hargnes sélectives, les indulgences infondées, les tentatives de dissimulations, les manipulations des chiffres, les mensonges réitérés de Reporters sans frontières, le tout au service d'une cause sans rapport avec les objectifs affichés. Observons son ardeur au travail contre les pays pauvres que l'Occident veut soumettre et son silence face aux concentrations économiques dans les médias des pays riches. Notons sa mansuétude envers les "bavures" de l'US Army, ses "oublis" dans la comptabilisation de journalistes qui en sont victimes. Ce livre dévoile les paravents de la CIA qui alimentent RSF en dollars : le Center for a Free Cuba et la National Endowment for Democracy (NED) via l'United States Agency for International Development (USAID).Et il n'y a pas qu'eux: l'Open Society Institute du milliardaire et magnat international de la presse George Soros, ami personnel de Bush, qui s'agite partout où peut être mis en place un gouvernement pro-états-unien, fait partie aussi des généreux financiers de RSF. Alors, RSF ??? Association humanitaire ou bras médiatique européen de la CIA et des faucons du Pentagone ?
Compléments :
Des années de travail et d’investigations (menées ici et sur le continent américain) portant sur 5 ans de fonctionnement de RSF (2002 à novembre 2007) et le livre est là.
Le 6 avril 2006, parce que j’avais, au détour d’une phrase, évoqué ses sources de financements US, RSF m’avait menacé dans le journal Métro : " Reporters sans frontières se réserve le droit de poursuivre Maxime Vivas en justice".
Au nom de la liberté d’expression ? m’étonné-je.
Quoi qu’il en soit, j’offre aujourd’hui au libre débat ces 272 pages (36 chapitres et 6 annexes) de preuves sur la vraie nature de cette drôle d’ONG...
La face cachée de Reporters sans frontières (De la CIA aux Faucons du pentagone).
Quand on voit dans un champ une grande chose blanche, avec des taches noires, avec des cornes, qui mange de l’herbe, qui donne du lait et qui fait MEUUUH, on peut raisonnablement en conclure qu’il s’agit d’une vache. Ajoutons que si un cow-boy traîne dans les parages, lui caresse l’échine et vante ses mérites, la tentation est grande de classer l’animal dans la famille des bovinés, surtout quand on le surprend à brouter son foin au râtelier d’un ranch.
Reporters sans frontières est-elle une fausse ONG qui égare les médias par ses informations choisies ?
Voici les paravents à peine opaques de la CIA qui alimentent RSF en dollars : le Center for a Free Cuba et la National Endowment for Democracy (NED) via l’United States Agency for International Development (USAID).
Voici deux personnages qui ont occupé des hautes fonctions dans ces généreuses officines : l’activiste Otto Reich qui travailla à la direction de la CIA et John Negroponte, ex-ambassadeur en Irak occupé, qui fut, jusqu’au début de 2007, patron de l’ensemble des services de renseignements US.
Voici un autre sponsor : l’Open Society Institute du milliardaire et magnat international de la presse George Soros, ami personnel de Bush, qui s’agite partout où peut être mis en place un gouvernement pro-états-unien.
Voici, détaillés dans ces pages, les fréquentations douteuses, les financements honteux, les hargnes sélectives, les indulgences infondées, les tentatives de dissimulations, les manipulations des chiffres, les vérités évolutives, les mensonges réitérés de RSF, le tout au service d’une cause sans rapport avec les objectifs affichés.
Observons son ardeur au travail contre les pays pauvres que l’Empire veut soumettre et son silence sur les effets de la financiarisation de la presse dans les pays riches.
Notons sa mansuétude envers les « bavures » de l’US Army, ses « oublis » dans la comptabilisation de journalistes qui en sont victimes et posons la dernière pièce : le clin d’œil appuyé de Colin Powell à cette ONG (et à elle seule) dans un volumineux rapport qui détaille les modalités prévisionnelles de gestion, sous protectorat US, d’un pays d’Amérique latine prioritairement ciblé par RSF.
Alors, association humanitaire ou bras médiatique européen de la CIA et des faucons du Pentagone ?
Au lecteur de dire si le puzzle ici assemblé fait MEUUUH !
Maxime Vivas.Source : Le Grand Soir () dont il est coadministrateur du site.
Données techniques :
Titre : "La face cachée de Reporters Sans Frontières"
Sous-titre : "De la CIA aux faucons du pentagone"
Auteur : Maxime Vivas
Éditeur : Aden belgique
Date Parution : 16/11/2007
Dimensions : 20 x 14 x 2 cm
Poids : 328 g
EAN13 : 9782930402697
ISBN : 978-2-930402-69-7
Prix : 19.29€ ().
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Cela dit, je trouve l'auteur plus que suspect. Je ne relaie la vidéo que par curiosité parce qu'il y a peut-être des informations véridiques et importantes dans le livre pour comprendre le monde. C'est bien dans le style de cette saloperie de CIA que de s'être intéressé à Reporters Sans Frontières. Affaire à suivre.
Nota Bene : pour en savoir plus sur le livre, cliquez [ici] ().
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