Cette vidéo est une conférence d'Étienne Klein sur la possibilité ou pas des voyages dans le temps, du point de vue de la physique contemporaine.

Après une introduction plus littéraire et imaginative, Étienne Klein nous explique de manière chronologique et progressive pourquoi le voyage dans le temps est impossible actuellement, compte tenu des théories physiques découvertes. Mais, dit-il, cela pourrait peut-être changer avec de nouvelles théories et grâce aussi à de nouvelles particules prévues mais non encore découvertes expérimentalement : les tachyons.

Pour ma part, je suis arrivé modestement, par la logique mathématique, à la même conclusion : il est impossible de voyager dans le temps parce-que le passé, comme le futur, n'existent pas : on ne peut les trouver nulle part dans l'Univers, quelque soit la dimension considérée. Voilà pourquoi il est radicalement impossible de s'y rendre.

Cela dit, il existe en revanche dans le monde Astral une région spéciale appelée "les registres akashiques de la Nature", qui est une sorte de mémoire cosmique, composée d'une substance particulière, l'Akasha, vibrant éternellement, et qui, telle une pellicule sensible, enregistre continument les événements de l'Univers : la lumière (les images), le son, et même les odeurs. Or, il est possible, après avoir atteint un certain état de purification interne et d'éveil de la conscience, de visiter les registres akashiques de la Nature, pourvu qu'on en ait l'autorisation (ça n'est pas automatique). C'est le home cinéma de la Nature, mais en grandeur réelle : on se concentre sur un évènement, et immédiatement on se retrouve plongé dans la scène, et même de pouvoir évoluer dans celle-ci, mais sans jamais pourvoir intervenir ou modifier quoi que ce soit. Ce n'est pas un voyage dans le temps à proprement parler, mais seulement une sorte de projection holographique d'un passé déjà enregistré. L'Akasha est une substance particulière qui, lorsqu'elle est mise en branle vivre éternellement sans s'amortir, contrairement à une onde sur la surface de l'eau, formée par exemple par l'impact d'une pierre sur elle, et qui s'atténue progressivement jusqu'à disparaître.

Une conférence passionnante, d'un Étienne Klein toujours aussi didactique et sympathique. Un bon moment.

À voir !

Nota Bene :

• La conférence est suivie des questions du public, mais un petit blanc (qui est noir) les sépare de quelques secondes.
• Pour un meilleur confort auditif, j'ai rehaussé le son de cette vidéo de 3 dB.