LIENS & INFORMATIONS DIVERSES ET VARIÉES DU MOMENT |
Cette collection de vidéos a été mise à jour le Samedi 16 Novembre 2024 à 6h 25m 13s
Les mots tapés dans les champs TITRE et/ou COMMENTAIRE, et qui doivent être séparés par des espaces, représentent des mots clés, partiels ou complets, qui peuvent ainsi être contigus ou disjoints dans le texte. Tri : Catégorie : Présentation du résultat : Normale En LISTE |
Attaques chimiques sur Idlib en Syrie :
des témoignages et des analyses démontrant que les médias désinforment
et manipulent honteusement et scandaleusement l'opinion publique
Vidéo # 8670 en Français () insérée le Samedi 8 Avril 2017 à 3h 05m 17s dans la catégorie "Guerres, Guerres civiles, et Terrorismes"
Durée : 15 min 46 sec
Évaluation des visiteurs : Réception des données en cours... Si rien finalement ne s'affiche, c'est que le serveur de notation est actuellement indisponible. Réessayez ultérieurement.
Afin de ne pas désinformer autrui, merci d'avoir la gentillesse et la sagesse de ne voter qu'après avoir regardé entièrement cette vidéo. |
Synopsis de la première vidéo :
Selon le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov, au lendemain d’une attaque chimique ayant coûté la vie à des dizaines de civils dans la province d’Idlib, l’aviation syrienne a frappé un entrepôt terroriste abritant des substances toxiques près de la ville de Khan Cheikhoun.
Fabrice Beaur, expert pour l'ONG EODE, nous donne plus d’explications à ce sujet.Source : Press TV.
Synopsis de la deuxième vidéo :
À peine 24 heures après l’attaque contre le métro de Saint-Pétersbourg en Russie, une vaste campagne d’intoxication a été lancée le mardi 4 avril contre le gouvernement syrien, accusé par les médias occidentaux d’avoir gazé « les habitants d’Idlib ».
Cette nouvelle campagne anti-Assad est lancée alors que Damas a détruit en 2014 tous ses arsenaux chimiques sous la supervision de l’ONU et que le bon déroulé du processus a été confirmé par les inspecteurs de l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques.
Bassam Tahhan, analyste franco-syrien des questions internationales, nous donne plus de détails à ce sujet.Source : Press TV.
Quelques vérités sur l’attaque chimique à Idlib :
Mais l’ensemble des indications prouvent que la soi-disant opposition armée, avec le soutien des relais d’information dont elle dispose au niveau international et en obéissance aux parties désireuses de mettre fin au processus politique en Syrie, a excellé dans la fabrication d’une nouvelle propagande qui accuse le gouvernement syrien d’utiliser des armes chimiques.
Sur cette base, nous posons, en qualité d’observateurs, une série de questions et d’interrogations, dans l’espoir que l’un de vous sera capable de nous fournir des informations véridiques.
1. Pourquoi des pages internet et des réseaux sociaux ont-ils publié des photographies d’enfants prétendument tués après avoir été asphyxiés par un gaz toxique, mais portant du sang sur leur corps ?
2. Pourquoi, jusqu’à présent, les médias ont-ils été incapables de nous indiquer l’endroit précis du bombardement ?
3. Pourquoi les médias ont-ils recommandé de ne pas s’approcher du site du bombardement, alors que les images diffusées montrent des dizaines de personnes donnant des soins aux blessés ?
4. Pourquoi les terroristes des Casques blancs portaient des masques à gaz pour se prémunir des émanations toxiques, alors qu’au même endroit, il y avait des dizaines d’autres qui ne portaient même pas de masques antipollution ?
5. Pourquoi les vêtements de certains ont-ils été retirés et pas ceux des autres ?
6. Comment veulent-ils nous convaincre de la crédibilité d’une vidéo montrant un site bombardé avec des gaz toxiques, dans laquelle le gaz n’a pas touché tous les habitants de la région, mais a ciblé certains d’entre eux, les blessés l’étant à des degrés divers ?
7. Pourquoi Firas Karam, le correspondant de la télévision Orient, a-t-il fait une allusion à la possibilité d’attaques au gaz toxique des heures avant l’évènement, et il a affirmé que les attaques auraient lieu à Hama ?
8. Firas Karam a aussi dit que le gouvernement syrien avait utilisé des armes chimiques quelques jours auparavant, faisant plus de soixante-dix victimes, mais pourquoi n’a-t-il pas présenté des photos et pourquoi la communauté internationale n’a-t-elle pas réagi prestement comme elle le fait maintenant à Khan Cheikhoun ?
Des observateurs russes ont déclaré que les témoignages et les vidéos de la ville de Khan Cheikhoun ne contiennent aucune indication quant à l’utilisation de bombes aériennes contenant des produits chimiques et qu’il est clair que la source de pollution est terrestre.
Les observateurs ont indiqué que le largage de produits chimiques à partir d’aéronefs ne peut se réaliser que de deux manières, soit avec des moyens spécifiques de pulvérisation des produits toxiques (moyen utilisé par l’armée américaine au Vietnam), soit en larguant des bombes aériennes contenant des matières chimiques.
Et selon la météo, les conditions météorologiques dans la région de Khan Cheikhoun étaient bonnes mardi matin (quand a eu lieu la prétendue attaque) avec une couverture nuageuse partielle, une vitesse de vent de 3 mètres par seconde et une visibilité de 1500 mètres.
Ces observateurs ont assuré que si l’aviation syrienne avait largué une bombe chimique ou si elle avait pulvérisé des produits toxiques, il y aurait eu des milliers de morts.
Publié avec l'aimable autorisation de l'auteur Dima Hassan.Source : Press TV.
Non mais regardez moi la tête de cette femme ténébreuse. Un suppôt du Mal...
Et elle représente les États-Unis... Ahurissant !
Des vidéo tout à fait édifiantes faisant témoigner Fabrice Beaur, un expert pour l'ONG EODE, et Bassam Tahhan.
À voir absolument pour se déniaiser de la désinformation ambiante lamentable et inique, relayée abondement par tous les médias mainstream !
Nota Bene : en complément, voyez aussi toutes ces news que j'ai recensées sur la Syrie, [ici] ().
|
n'hésitez pas à modifier les filtres de recherche, puis à cliquer ensuite sur le bouton [ Rechercher ] |
Pour toute question ou commentaire, n'hésitez pas à m'écrire en utilisant cette
[PAGE]
.