Encore un épisode savoureux où, à l'occasion de la crise du coronavirus, on peut voir crûment l'hypocrisie des immigrationnistes et des défenseurs du libre échange : selon ces derniers, on ne pourrait pas fermer les frontières, les moduler, car ce serait impossible. En réalité, cette crise montre que c'est possible, et même impérieusement nécessaire.

C'est juste une question de volonté politique. Les Suisses arrivent à faire un protectionnisme intelligent pour leur agriculteurs, les Hongrois empêchent bien les migrants de pénétrer chez eux, et nous on ne pourrait pas le faire ?

De même, tous ces morts inutiles en Méditerranée, générés par des passeurs qui travaillent main dans la main avec des ONG complices, pourraient facilement être évités grâce à la technologie des satellites couplée aux marines nationales française et italienne, ramenant dès leur détection les bateaux quittant la Libye vers leur port de départ.

Juste une volonté politique.

Mais nous avons des traîtres de politiciens aux commandes, voilà le problème. La démocratie, vite !

Avec un Gérard Miller déconfit, regardant haineusement, et avec un mépris hautin certain, Geoffroy Lejeune expliquer cette contradiction. 

Seul bémol, et suggestion à Geoffroy Lejeune :

Vous gagneriez en confiance et en crédibilité en évitant absolument, de manière répétitive vos "Je crois" : lorsque l'information et un fait avéré, c'est une vérité, et vos "Je crois" envoient un terrible signal de faiblesse, ouvrant une faille, une brèche pour vos contradicteurs et vos adversaires, qui s'avère tout à fait délétère et contre-productif.

Soyez sûr de vous-mêmes, de vos idées, et de vos positions, à partir du moment où c'est la vérité.

Vous n'en serez que plus crédible, et bien plus percutant pour assommer vos opposants.