Regardez entièrement la vidéo avant de lire mon commentaire ! 

Une dénonciation perverse, car il y a dans cette chronique un problème, et de taille ! :

À 23:28, il ose déclarer "Un monde de métro, de boulot, et de dodo, de travail, de famille, et de patrie", une référence claire au "Travail, famille, patrie" du pétainisme, alors même que tout son sketch décrit un monde tout à fait contraire au pétainisme, puisqu'il s'agit en réalité de notre monde actuel, dominé non pas par l'extrême droite, mais précisément par les "progressistes", les minorités tyranniques, qui sont connus pour être intolérants et totalitaires au point de ne pas supporter pas la moindre micro-vexation, et de détruire, ou de faire supprimer (et donc le contraire du conservatisme), toute oeuvre qui ne leur plaît pas, ou qui les offense, comme on le voit crûment actuellement de manière répétée dans certains pays occidentaux dégénérés.

En fait, c'est très pervers : il retourne complètement son sketch de manière subreptice, puisque sa première conclusion est l'opposé du réel observable : ce serait le monde pétainiste qui serait à l'origine de la cancel culture, alors même que c'est précisément le contraire : c'est le monde des Big Tech et des multinationales du capitalisme le plus outrancier, fusionnées avec le "progressisme" et la tyrannie des minorités, qui sont à l'origine de la cancel culture, comme on l'observe actuellement partout en occident. Et plus que jamais, force est de le reconnaître, notamment particulièrement aux États-Unis depuis la mort de George Floyd avec la montée en puissance de Black Lives Mater et des gauchistes fascistes d'Antifa, et de toutes ces entreprises qui se vautrent dans l'antiracisme dévoyé et forcené, la bien-pensance, et la cancel culture la plus débile.

Enfin, sa conclusion finale citant 1984 est le sommet de sa perfidie : il assimile la dictature totalitaire dystopique de George Orwell au régime pétainiste, alors même que ce roman dépeint un monde anti-conservateur par excellence, d'inversion des valeurs ("La liberté c'est l'esclavage"), de tromperie et de propagande mensongère permanente, mêlant le négationnisme et le révisionnisme historique, ainsi que la pratique de la cancel culture à outrance, et faisant la promotion de tous les vices (alcool, luxure, pornographie, etc,) pour asservir la population.

En fait, 1984, est notre monde actuel, né de la fusion du grand capital avec le totalitarisme le plus abject, parce-que mélangé avec la perversité multiforme du "progressisme", dont la finalité est la division du peuple jusqu'à l'atomisation, sans familles, sans racines, sans traditions, ni aucun repère, amenant à une plèbe informe d'individus perdus maléables, manipulables, et corvéables à merci.

Ainsi, après avoir vu cette vidéo, on se rend compte avec effarement et stupéfaction qu'au bout du compte, le dessin réel de la chronique humoristique de ce monsieur n'est pas de simplement dénoncer la cancel culture (ce qu'il fait certes avec brio dans la première partie de son texte), mais de la mettre sur le dos des patriotes, des défenseurs de la famille, des nationalistes, des souverainistes, et des conservateurs, etc., bref sur le dos d'un grand nombre de ces innocents qui subissent, incessamment et avec dépit, les continuelles dérives et les assauts du "progressisme" et de la cancel culture. C'est vraiment pervers et dégueulasse d'avoir retourné une juste critique pour la mettre sur le dos des victimes, c'est-à-dire de ceux qui en souffrent. Ce type est un pervers et un sournois, attention !

Dommage, parce-que ça partait vraiment bien.

À voir absolument !