Des précisions d'importance pour mieux comprendre ce qui survient en Ukraine avec les groupes néonazis.

La position de Thierry Meyssan est juste, et je la partage aussi.

À regarder jusqu'au bout !

Message à Thierry Meyssan :

Un peu de post-production avec des images pour illustrer vos propos serait bienvenu, et donnerait plus de poids à vos dires.

Complément :  L'ignoble propagande mensongère du journal Le Monde   :

Question d'un lecteur de leur site web, "Chezmesse" :

Bonjour, pouvez vous nous expliquer ce que Poutine entend par dénazification. S'agit il pour Poutine de parler de l'influence de l'occident sur l'Ukraine ?
Merci d'avance.

Réponse de la rédaction du journal Le Monde :

Bonsoir,

Vous avez été nombreux à nous poser cette questions tout au long de journée. Pour savoir pourquoi Vladimir Poutine utilise ce terme, nous vous conseillons la lecture de cet entretien, réalisé la semaine dernère avec Jean-Sylvestre Mongrenier, chercheur à l’Institut Thomas More, auteur du Monde vu de Moscou. Géopolitique de la Russie et de l’Eurasie post-soviétique (PUF, 2020). Il analyse la vision « profondément enracinée dans le discours et les représentations géopolitiques de Vladimir Poutine ».

A propos des accusations de « génocide » envers les populations de l’est de l’Ukraine, région gouvernée, selon lui, par des « nazis », il répond ceci :

Cette vision a pris un tour obsessionnel chez lui, mais elle est profondément enracinée dans le discours et les représentations géopolitiques de Vladimir Poutine et des hommes qui l’entourent. Il parlait déjà de “génocide” lors de l’intervention en Géorgie en 2008, et encore pour la Crimée en 2014. C’est un mensonge pur et simple.

Cette rhétorique fait écho au souvenir de la seconde guerre mondiale – la “grande guerre patriotique” en Russie. La victoire soviétique sur le nazisme est devenue sacrée et a été transformée en véritable “religion politique” ces dernières années. La question est de savoir si les dirigeants russes manipulent consciemment ces fantasmagories ou bien s’ils croient à leur propre propagande.

Afin, qu'il n'y ait aucun doute dans votre esprit, j'ai capturé leur page :

En clair, il n'y a pas de nazis en Ukraine, c'est juste un fantasme de Vladimir Poutine... 

Hallucinant !

Et ça, c'est quoi ? Des jardiniers ? :

Comment les journalistes du journal Le Monde osent-ils nier cette évidence, et mettre cette terrible réalité sur le compte de la psychologie de Vladimir Poutine ??!! 

Le journal Le Monde n'est pas un journal de référence, mais un outil de propagande et de désinformation tenus par des malfaisants déguisés en pseudo-intellectuels et pseudo-sachants. Ils trompent leur public, et d'une manière générale le public français et international francophone, en leur faisant croire qu'ils sont compétents et qu'ils leur délivrent des informations véridiques et fiables, alors que ce sont des mensonges éhontés, de la propagande mensongère partisane abjecte. C'est criminel ! Et, en plus, ils reçoivent des subventions d'argent public !!!  Inadmissible !!! 

C'est d'autant plus inadmissible même Wikipédia ne censure pas cette information. Exemple : le régiment Azov :

Le régiment Azov, jusqu'à septembre 2014 le bataillon Azov, connu aussi sous le nom des « hommes en noir », est une unité d'extrême droite néonazie intégrée à la garde nationale de l'Ukraine.

Il est placé sous le commandement du ministère de l'Intérieur d'Ukraine et intégré aux « forces de défense » par l'État-major ukrainien. Ce bataillon, chargé de lutter contre l'insurrection armée pro-russe à l'Est, a été formé le 5 mai 2014, d'abord à Marioupol pour garder les bâtiments administratifs. Ensuite le bataillon a été basé à Berdiansk. Il doit son nom à la mer d'Azov. Il était composé d'environ 800 volontaires fin 2014, mais vit ses effectifs rapidement augmenter en raison de sa popularité croissante durant l'année 2015, puis l'année suivante, portant le nombre de combattants potentiels à plus de 4 000 à la fin de 2016. Azov, d'abord bataillon, connaîtra successivement le format régimentaire puis celui d'une brigade elle-même divisée en plusieurs petites unités.

Le bataillon est accusé de nombreuses violations des droits humains.

Source : Wikipédia ().

C'est sans compter aussi sur la question qui a même été abordée au Sénat par la Sénatrice Nathalie Goulet qui l'a posée au Ministre de l'Europe et des Affaires étrangères :

Conclusion : le journal Le Monde se fout vraiment de la gueule du monde, sa désinformation et sa propagande mensongère partisane sont inacceptables !