Liens, News, et informations diverses et variées du moment

SYNOPSIS :

De gigantesques explosions, comparables à un tremblement de terre, ont secoué la ville de Toropets, située à 400 kilomètres de Moscou, en Russie, dans la nuit de mardi 17 à mercredi 18 septembre 2024. Des drones ukrainiens y ont « détruit » un entrepôt d'armement, a affirmé à l'AFP une source des services de sécurité ukrainiens (SBU).

Le Monde a pu vérifier les images des explosions et des dégâts. Des images par satellite prises avant et après l'événement permettent de renseigner sur les quantités de munitions stockées dans cet entrepôt et sur l'ampleur des destructions.

Quand au gouverneur de la région, c'est un vrai connard qui ment comme il respire.

Maintenant, il ne s'agit pas d'une opération ukrainienne, mais clairement d'une opération conjointe des États-Unis, de l'OTAN, et de l'Ukraine. Pour mener une telle opération, il en faut l'idée et les informations satellitaires précises, et ce n'est pas l'Ukraine qui a pu les obtenir.

Une fois de plus, les Russes ont merdé grave, et ils ont perdus beaucoup de munitions dans cette affaire. L'armée russe fait preuve de dysfonctionnements à répétition parce-qu'il y a dans sa chaîne de commandements des gens clairement incompétents qui sont incapables d'anticiper.

Quand à Vladimir Poutine, il est laxiste avec les États-Unis et l'OTAN, alors même que ces derniers sont clairement cobélligérants.

Exemple : Vladimir Poutine affirme «soutenir» Kamala Harris à la présidentielle américaine de novembre - Voir [ici] (

Le journal Le Figaro a en son sein de vrais débiles, des aveugles, et ce journal ne cesse de descendre, hélas.

L'AFP affirme que les mariages d'enfants au Pakistan sont liés au changement climatique - Par Jules Ferry - Voir [ici] (

Quand on en est à ce niveau de mensonges, on est plus digne d'être appelé "journaliste", "Agence de presse", et la puissance publique doit leur retirer leur accréditation.

Comme je l'ai souvent expliqué dans ces news, il nous faut un tribunal populaire de citoyens tirés au sort pour juger et sanctionner les journalistes et foutre dehors tous les iniques, les indignes, comme dans ce cas précis.

Petit coup de gueule sans méchanceté à l'égard de certains à droite (minoritaires) : on a bossé comme des chiens hier notamment pour avoir l'info et les confirmations des révélations contre les 8 membres de la Jeune Garde, par nos sources puis le parquet de Paris.

Le canard enchaîné a sorti l'info plus d'une heure après nous. Mais les confrères - parfois de droite - ne nous mentionnent pas, rien. C'est bien la peine de demander des médias indépendants de faire de l'enquête et de l'info brute si même les médias dits amis préfèrent citer la gauche et passent au dessus des règles strictes de la déontologie de citer la source d'origine.

Qu'on ne s'étonne pas si ensuite les petits médias ne font que de la reprise ou de l'opinion s'ils n'ont pas le minimum de soutien. À gauche, France Inter ou l'AFP citent les tous petits médias à très faible audience. Ils ont tout compris. Nous, c'est dédain et envie de recentrage permanent alors qu'en plus c'est largement repris sur les réseaux sociaux.

Chez Frontières on cite toujours tout le monde - ex l'info de l'incorrect sur la fiche S qu'on a très largement relayée - et quand on fait des erreurs on rectifie si tant est que l'erreur nous est remontée. Et on est tristes parfois si certains pensent qu'on ne l'a pas fait sciemment.

Je rencontre souvent de jeunes journalistes qui veulent faire de l'enquête. Il y a une véritable motivation de beaucoup à se lancer dans ce travail difficile. Mais il faut aussi que les médias de droite de grande envergure ne tournent pas le dos...surtout quand nombre de leurs journalistes viennent à l'origine de cette même presse indépendante et qu'ils savent que c'est difficile d'y être entendu. Et surtout quand lorsqu'ils sont en difficulté dans une tempête de l'extrême gauche il y a toute la presse indépendante qui les soutient.

Et quand je dis tout cela, je pense que beaucoup de L'incorrect, BV, Fdesouche et autres vivent la même chose que nous. Et qu'on ne se plaint jamais publiquement.

Bref. Ça devait être dit et ça ne nous empêchera pas de malgré tout soutenir et relayer ces mêmes médias qui parfois font preuve de mépris, car l'union des droites sont ils font la promotion c'est d'abord un état d'esprit.

Je fais cette remarque même si je reste convaincu que de toute façon on doit apprendre à pousser ses infos seules : c'est aussi pour cela que chez Frontières on est autonomes via nos 80 millions de vues sur X depuis la dissolution par exemple. Et avec Occidentis sur Instagram d'un formidable relai d'infos que beaucoup utilisent d'ailleurs. On n'a pas eu besoin de relais conséquents pour lancer un magazine qui cartonne et être pérenne. Mais quand on a une bonne info, oui, on aimerait par respect pour les victimes et ceux qui prennent le risque de donner des infos, qu'elles puissent être le plus largement relayées. Et nous citer quand on sort de belles infos permet oui d'assoir notre crédibilité car à gauche si on fait une erreur eux ne se privent pas de nous rentrer dedans puis de l'inscrire dans Wikipédia pour que le public non informé n'aie pas confiance en nous.

PS : je salue Cnews qui pour le coup est un modèle sur sa capacité à prendre les vraies informations sans avoir peur des articles de Mediapart contre eux ni sans être dans une logique concurrentielle néfaste. Et tous les journalistes qui font un vrai taf de citation et relai se reconnaîtront et savent que je ne parle pas d'eux.

Cinq journalistes de France TV «mis en retrait» pour avoir pris position «contre l'extrême droite» :

Cinq journalistes de la rédaction de France Télévisions ont été «mis en retrait» jusqu'au 8 juillet par leur direction, pour avoir signé une tribune appelant à faire «front commun contre l'extrême droite», a appris l'AFP auprès de la direction vendredi.

Ces cinq journalistes «ne traitent plus des sujets qui couvrent la campagne» électorale, mais ils «sont au planning», a précisé France TV, qui leur reproche de ne pas s'être conformés au guide des pratiques professionnelles prônant la neutralité politique.

Mercredi, ces cinq membres qui se revendiquent de la Société des journalistes (SDJ) de France 3 rédaction nationale, avaient signé une tribune de 90 médias, dont Mediapart ou L'Humanité, appelant à faire «front commun» contre l'extrême droite qui menace, selon eux, «la liberté de la presse».

«Cet appel au vote s'avère incompatible avec le traitement de la campagne électorale sur l'ensemble des supports de France Télévisions», est-il notifié aux intéressés, selon le courrier de la direction dont l'AFP a eu copie. «Il en va de l'image d'impartialité des rédactions de France Télévisions», ajoute le courrier. Selon la direction, cette SDJ n'est plus représentative depuis la fusion des rédactions.

Corruption : Grenoble : une enquête ouverte contre le maire EELV, Éric Piolle, accusé de versement illicite à une élue :

SYNOPSIS :

Une enquête a été ouverte mercredi contre le maire écologiste de Grenoble suite à un article du Canard Enchaîné qui l'accuse d'avoir organisé un tour de passe-passe budgétaire pour verser indûment 16.800 euros à son ancienne première adjointe, a indiqué le Parquet.
Une enquête a été ouverte mercredi contre le maire écologiste de Grenoble suite à un article du Canard Enchaîné qui l'accuse d'avoir organisé un tour de passe-passe budgétaire pour verser indûment 16.800 euros à son ancienne première adjointe, a indiqué le Parquet.

L'enquête pour "concussion", - un délit passible de 5 ans de prison et 500.000 euros d'amende - et "recel de ce délit" vise le maire Eric Piolle, son ancienne adjointe aujourd'hui députée LFI Elisa Martin, et un intermédiaire, a précisé le procureur Eric Vaillant.

16.800 euros perçus en liquide
Sollicités par l'AFP, ni la mairie de Grenoble, ni Elisa Martin n'ont réagi dans l'immédiat. Le journal satirique, dans son édition de mercredi, affirme qu'un ancien collaborateur de Eric Piolle a bénéficié d'une hausse de salaire de 600 euros en décembre 2016 mais s'est vu demander d'en rétrocéder 400 à Elisa Martin pour l'aider à boucler ses fins de mois.

Selon le journal, cette "combine" visait à compenser la fin de son mandat de conseillère régionale et la baisse d'un quart des indemnités des élus municipaux, en vertu des règles fixées par la municipalité. Au total, elle aurait ainsi perçu en liquide 16.800 euros, non déclarés au fisc. Ces versements auraient pris fin lorsque Elisa Martin a été élue députée au printemps 2022.

"Si les faits sont averés, ils sont extrêmement graves"
Selon le Canard Enchaîné, les relevés bancaires de l'ancien collaborateur, qui a quitté la mairie à l'été 2022, montrent qu'il a "méthodiquement" prélevé 400 euros en liquide chaque mois. Il aurait en outre fait attester par un huissier de justice de conversations menées par messageries cryptées.

"Si les faits sont averés, ils sont extrêmement graves", a réagi sur Twitter l'opposante Emilie Chalas, qui a perdu son siège de députée face à Elisa Martin et a été tête de liste République en Marche à la municipale de 2020 à Grenoble. L'ancien maire Alain Carignon, lui-même condamné pour corruption, a également dénocné des faits "d'une exceptionnelle gravité" qui, selon lui, "rompent définitivement al confiance des Grenoblois.