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"SATANISME ET PÉDOCRIMINALITÉ : RÉALITÉ OU FICTION ? | LAURENT GUYÉNOT | GÉOPOLITIQUE PROFONDE" - Par Géopolitique Profonde :

SYNOPSIS :

Le lien entre le satanisme, la pédocriminalité et ce que certains appellent le "pédosatanisme" est un sujet complexe et controversé, mêlant faits avérés, rumeurs et interprétations parfois sensationnalistes. Bien que ces phénomènes soient distincts, ils ont souvent été associés dans les discours publics et médiatiques, alimentant des spéculations et des théories qui ne sont pas toujours fondées sur des preuves solides. Explorer ces questions nécessite une approche critique et nuancée, car la réalité de ces liens reste trouble et controversée.

Le satanisme, en tant que pratique ou croyance, a pris diverses formes en Occident, et n'est pas monolithique. Aux États-Unis, dans les années 1980, une vague de peur connue sous le nom de "Satanic Panic" a provoqué une hystérie collective autour de supposés rituels sataniques impliquant des abus d'enfants. Des documentaires comme Search for Satan montrent comment cette panique a été amplifiée par les médias, les groupes religieux et certains acteurs du système judiciaire, souvent sans preuves substantielles. L'Église de Satan, fondée par Anton LaVey, prône une philosophie athée et individualiste, loin des pratiques criminelles qui lui sont parfois attribuées. De nombreuses accusations de satanisme criminel ont été par la suite discréditées, ce qui pose la question de la véracité des récits qui ont circulé pendant cette période.

La pédocriminalité est une réalité tragique et incontestable. Des scandales, tels que l'affaire Jeffrey Epstein, ont mis en lumière des réseaux d'abus impliquant des personnalités influentes, soulevant des questions légitimes sur l'ampleur et l'impunité de tels crimes. Nous avons aussi le cas du "Pizzagate", révélant indirectement un potentiel réseau pédocriminel opérant depuis une pizzeria de Washington, D.C.

Dans les années 80 et 90, de nombreux témoignages recueillis sous hypnothérapie ou psychothérapie ont contribué à la diffusion de récits d'abus rituels, souvent invérifiables. Le documentaire Divided Memories explore comment ces témoignages ont été façonnés par des méthodes thérapeutiques controversées, comme la récupération de souvenirs sous hypnose, et comment cela a contribué à la création de faux souvenirs. Ces pratiques, soutenues par certains groupes féministes radicaux et des intérêts pharmaceutiques et médicaux, ont généré des revenus substantiels tout en ajoutant de la confusion sur la réalité des abus.

Des témoignages récents, notamment dans des œuvres comme Les Survivantes de Pierre Barnérias, continuent de relayer des récits de pédosatanisme, mettant en avant une hausse des témoignages dans la sphère francophone. Ces récits soulèvent des questions difficiles sur la réalité de tels réseaux, sans toujours apporter les preuves nécessaires pour étayer certaines affirmations.

Les phénomènes d'ingénierie sociale et de manipulation médiatique jouent un rôle non négligeable dans l'amplification de ces récits, rendant la quête de la vérité encore plus difficile.

La réalité du lien entre le satanisme, la pédocriminalité et le pédosatanisme est ainsi loin d'être simple et demande une vigilance constante. Plutôt que de rejeter ces questions comme de simples théories du complot, il est nécessaire de poursuivre des recherches rigoureuses et indépendantes pour clarifier ces allégations, protéger les victimes réelles et prévenir l'instrumentalisation de leur souffrance.

NOUVELLES MENACES
CONTRE LA LIBERTÉ D'EXPRESSION
ET LE SECRET DES CORRESPONDANCES
Le ministre danois de la Justice Hummelgaard envisage de bloquer les applications cryptées telles que Signal, Telegram et WhatsApp.
Le motif allégué est bien sûr «d'empêcher les criminels de profiter d'un refuge numérique».

MaIs les journalistes d'investigation du site http://frihedsbrevet.dk ont découvert :
▪️qu'au moins 70 parlementaires🇩🇰 utilisent eux-mêmes ces services de messagerie cryptés,
▪️que le ministre de la Justice, qui veut les interdire, les utilise lui-même !

Et les journalistes demandent à ces Tartuffes pourquoi ils y ont recours.

ANALYSE
Les cercles dirigeants des États sous domination euro-atlantiste semblent avancer comme des somnambules vers l'autodestruction de tout ce qui a fait la grandeur et la force de la civilisation européenne.

Le scepticisme, l'esprit critique, la faculté d'exercer son propre jugement, font l'objet d'attaques incessantes et d'insultes, sous couvert de lutte contre «complotisme», «conspirationnisme», «fake news», «extrême-droite», etc.

On voit les résultats désastreux de ce refus hystérique de tout débat de fond, honnête et serein, sur les sujets fondamentaux :

▪️perte de sens des élections et de la démocratie, dû à notre assujettissement à l'UE et à des dirigeants cooptés, non élus et non responsables devant les peuples

▪️mise en faillite de la France par l'explosion de la dette, due au confinement démentiel décidé par Macron lors du Covid

▪️conséquences sanitaires inquiétantes à long terme des injections ARNm forcées

▪️destruction des économies allemande et française et risque de 3e Guerre mondiale, découlant de notre alignement total sur le narratif et la géopolitique de Washington en Ukraine contre la Russie

▪️saccage des paysages et de nos industries, et dépenses de centaines de milliards €, pour satisfaire au dogme du réchauffement climatique d'origine anthropique, qu'il est tabou de contester, fût-on Prix Nobel ou professeur d'université expert de ces questions

▪️etc.

Mais les cercles dirigeants euro-atlantistes ne se satisfont plus d'imposer ainsi une vérité officielle, par l'intimidation et la transformation des principaux médias en purs instruments de propagande.

Constatant que cette propagande fonctionne de moins en moins au vu d'une réalité qui la contredit toujours plus, ils ont décidé de s'attaquer directement aux réseaux sociaux qui sont les instruments n°1 de la liberté d'opinion et d'expression, contre les médias propagandistes.

Ils n'hésitent pas pour cela à piétiner l'un des principes sacro-saints de ce que furent les démocraties occidentales : le secret des correspondances.

En exigeant de pouvoir lire et décrypter les messages circulant sur X, Télegram, et bientôt WhatsApp, Signal, etc., ils se comportent ni plus ni moins comme la Gestapo de l'Allemagne nazie, le NKVD et le KGB de l'URSS, la Stasi de l'Allemagne de l'est, etc. Ces polices politiques ouvraient les correspondances et espionnaient les conversations, précisément pour lutter contre le «terrorisme» et les «bobards des ennemis de l'intérieur».

Mais il faut bien comprendre que si les dirigeants euro-atlantistes interdisaient X, Telegram, WhatsApp et Signal, la contestation de leur tyrannie ne cesserait pas. Elle se déplacerait ailleurs.

Ils exigeraient alors, toujours pour lutter contre «terrorisme» et «désinformation», de contrôler les téléphones, d'ouvrir toutes les correspondances, d'interdire les déplacements jugés non nécessaires, d'appliquer un "crédit social" à chaque être humain, etc.

Bref, ils transformeraient la vie en un enfer carcéral, géré par une infime classe de tyrans.

CONCLUSION
Si un tyran peut forcer ses sujets à obéir, il ne peut pas les contraindre à l'aimer, ni à se mobiliser pour le faire prospérer et le défendre.

C'est pourquoi l'histoire universelle montre qu'il n'y a pas d'autre fin, à ce type de société totalitaire, que son propre anéantissement.

https://cybernews.com/privacy/denmark-ban-telegram-signal-whatsapp/ (

)

Une news confirmant ce que j'ai prédit il y a plus de 10 ans ! : voir [ici] (

Tout ce que vous pensiez savoir sur la seconde guerre mondiale est faux. Voici pourquoi - Voir [ici] (

Tout ce que nous avons du monde et du passé provient de la télévision et des journaux.

Et nous sommes gavés comme des oies de cette propagande, sans presque jamais la remettre en question.

La répétition aidant, nous prenons ces mensonges pour des vérités, et pire : dès qu'une voix s'élève pour nier un récit officiel, celle-ci est ostracisée et qualifiée de complotiste.

"La tentative d'assassinat contre Donald Trump est bien pire que vous ne pensez" - Par Idriss Aberkane :

SYNOPSIS :

L'État Profond est une réalité sociologique et politique. Défini par le grand diplomate et poète canadien Peter Dale Scott et codifié par le Professeur de Droit International Michael J. Glennon dans son ouvrage "National Security and Double Government", l'Etat Profond désigne les individus qui conduisent les affaires politiques indépendamment des élus et sans responsabilité populaire ni contrôle démocratique. J. Edgar Hoover du FBI en est un des premiers représentants modernes, son administration et son pouvoir entaché des plus graves crimes politiques persistant à travers huit présidents américains et douze mandats présidentiels au total. Il se caractérise par quatre aspects fondateurs

1) Influence autonome : Les membres et institutions fonctionnent indépendamment des élus.

2) Continuité politique : Assure une politique continue, indépendamment des changements électoraux.

3) Manque de responsabilité : Opère avec une surveillance démocratique minimale, souvent au profit d'intérêts institutionnels et privés.

4) Pouvoir en réseau : Implique un réseau d'agences bureaucratiques, de sous-traitants privés et de sociétés.

Or qu'il s'agisse du FBI dont il est aujourd'hui factuellement démontré qu'il a comploté activement pour étouffer l'affaire du portable de Hunter Biden juste avant les élections de 2020 ou de la CIA qui a notamment intrigué pour propager la désinformation selon laquelle Donald Trump était un agent d'influence russe, les quatre forces de l'État Profond se sont en effet opposées au 45ème Président des États-Unis de toutes les manières possibles, allant jusqu'à enrôler une certaine justice partiale et politisée pour le condamner davantage que la firme Boeing qui pourtant elle a du sang sur les mains.

Dans ce contexte, le développement de la tentative d'assassinat contre Trump le 13 Juillet 2024 mérite un sérieux arrêt sur image, auquel nous procédons dans cette vidéo.

Les titres de certains journaux américains sont lunaires, inimaginables, et dignes de l'Empire du mensonge, comme qualifie si bien Vladimir Poutine les États-Unis .

"Attentat contre Donald Trump : les médias responsables ? - Le Nouvel I-Média" - Par TVLibertés (TVL) :

SYNOPSIS :

Cette semaine dans "I-Média", Jean-Yves le Gallou et Lucas Chancerelle reviennent dans l'image de la semaine sur le cliché déjà historique de Trump se relevant le poing levé après la tentative d'assassinat contre lui.

Le dossier du jour sera consacré au rôle joué par les médias dans la montée de la violence contre l'ancien président américain et les théories du complot entourant les circonstances de l'attentat.

Les pastilles de l'info aborderont :
1) L'extrême gauche assume et revendique le grand remplacement
2) Le vol du patrimoine des Français pour rembourser la dette ?
3) Cérémonie des JO : ça promet !
4) Le gouvernement allemand censure un magazine patriote !
5) Groupe Canal : l'inquisition de l'Arcom

Pour conclure, le portrait piquant du jour en partenariat avec l'OJIM sera consacré à Céline Pigalle.