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Cette rubrique a été mise à jour le 11 janvier 2015 Il est important de s'informer car un homme
ignorant est en danger. "L'ignorance est la mère
de toutes les erreurs." Samaël Aun Weor Pour être capable d'exercer son sens
critique, il est important d'être le mieux informé possible... et la
connaissance est une source de trésors inépuisables ! "La bataille contre
l’ignorance se gagne tous les jours et elle finit par ouvrir sur des
perspectives insoupçonnées." Dalaï Lama Aussi, je vous propose une petite revue de
presse sur différents sujets d'actualité et d'intérêts. Si vous avez des commentaires ou des News à
partager, n'hésitez pas à me contacter (voir plus bas dans la page) pour m'en
faire part. Bonne lecture !
Titre : News : Présentation : Catégorie : Un total de 1466 News de YellowGirl 1 2 3 4 5 6 7 ... 294 >>>> +100 >>> +50 >> +20 > +10 Suiv |
La pollution tue !
News # 1466 insérée le 11 janvier 2015 dans la catégorie Environnement
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Une étude de l'InVS
portant sur 17 agglomérations françaises confirme l'impact direct de
l'augmentation des particules fines sur la mortalité.
La
concentration de particules fines dans l'atmosphère a un effet direct sur la
mortalité. Telle est la conclusion d'une étude rendue publique ce
mardi matin par l'Institut de veille sanitaire. Ces particules fines, les PM10,
sont particulièrement émises par les cheminées et les
moteurs diesel. À chaque fois que la concentration de PM10 augmente
de 10 microgrammes par mètre cube (µg/m3), le risque de mort (hors accident)
croît de 0,51 % et le risque de mortalité cardiovasculaire augmente lui de 0,55
%. Les PM10
pénètrent facilement dans le corps et augmentent le risque de développer des
maladies comme l'asthme, le cancer du poumon ou certains troubles
cardiovasculaires. "Mais elles augmentent
également le risque de décès à court terme chez des personnes déjà malades,
notamment en été, lorsque la pollution vient se combiner avec la chaleur",
indique Mathilde Pascale, épidémiologiste au sein du programme Air-Climat qui a
participé à l'étude. L'épidémiologiste rappelle qu'en matière de pollution,
"il n'existe pas de seuil en dessous duquel il n'y aurait
pas d'effet sur la santé".
"Nécessité
d'agir" L'étude s'est penchée sur 17
agglomérations urbaines de plus de 100 000 habitants entre 2007 et 2010. Il
s'agit de Bordeaux, Dijon, Grenoble, Le Havre, Lille, Lyon, Marseille,
Montpellier, Nancy, Nantes, Nice, Paris, Rennes, Rouen, Strasbourg, Toulouse et
Lens-Douai. "En moyenne annuelle, aucune ville ne
dépassait la valeur réglementaire européenne de 40µg/m3, mais seule Dijon
respectait la valeur guide de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) fixée à
20µg/m3". En clair, Dijon mis à part, toutes
les villes dépassent le seuil fixé par l'OMS ! Et le problème
s'aggrave en été sous l'action de la chaleur, une nouvelle peu rassurante étant
donné l'élévation des températures et la plus grande fréquence des canicules
sous nos latitudes. "Cette
étude confirme les effets à court terme des PM10 sur la mortalité, même à des
concentrations conformes à la réglementation de l'Union européenne (40µg/m3 en
moyenne annuelle) et proches des valeurs guides de l'OMS (20µg/m3), et souligne
la nécessité d'agir pour diminuer les niveaux de particules en France. Cette
action doit concerner tant les pics que les niveaux de fond", conclut
l'InVS. Une conclusion d'autant plus pertinente que la Savoie connaît en ce
moment même son septième jour d'alerte à la pollution aux particules fines et
qu'à Paris un épisode est en cours tant et si bien que la mairie a rendu gratuit
le stationnement résidentiel pour inciter les habitants à ne pas utiliser leur
voiture. Source : Le Point.fr du 6
janvier 2015 (http://www.lepoint.fr/environnement/la-pollution-tue-06-01-2015-1894361_1927.php)
CES 2015 : Curie, un micro-ordinateur de la taille d’un bouton
News # 1465 insérée le 11 janvier 2015 dans la catégorie Informatique
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Au Consumer
Electronics Show, Intel a frappé fort en dévoilant le prototype d'un
micro-ordinateur pas plus grand qu'un bouton de manchette.
Intel lance un nouveau
micro-ordinateur dont la taille ne dépasse pas celle d’un bouton. L’année dernière, Intel avait dévoilé Edison,
un micro-ordinateur à peine plus grand qu’un timbre-poste
voué à la création de "wearables" (terme anglais qui désigne les objets
connectés comme des bracelets, des montres, des lunettes ou des vêtements…).
Cette année, lors de sa conférence au Consumer Electronics Show (CES), le
fondateur de la marque a montré qu’il pouvait aller
beaucoup plus loin dans la miniaturisation et conquérir ce marché
tant convoité. Brian Krzanich, son PDG, a en effet présenté
Curie, un module de la forme d’un bouton de 18 mm de
diamètre. Il incorpore tout ce qu’il faut pour
piloter des appareils électroniques miniatures
: un system on chip Intel Quark SE, qui n'est autre que la toute nouvelle
version de la puce basse consommation dédiée à l’Internet des objets, de la
mémoire vive SRAM (80 Ko), du stockage flash (384 Ko), un module Bluetooth Low
Energy, un circuit PMIC pour la gestion d’énergie, un accéléromètre et un
gyroscope travaillant sur six axes. Le tout est animé par un système
d’exploitation temps réel ou RTOS (de l’anglais real-time operating system)
open-source.
Brian Krzanich, le grand
patron d’Intel, tient entre ses doigts un module Curie dont la sortie est prévue
au second semestre 2015. Le Curie d'Intel équipera des
objets connectés Intel vante une
consommation d’énergie très faible, indiquant qu’un module Curie peut
être alimenté par une pile bouton. Idéal pour des
objets connectés allumés en permanence tels que les bracelets et les montres par
exemple. Ce format miniature pourra d'ailleurs contribuer à libérer
leur design. Cependant, aucun chiffre de consommation n’est
fourni pour le moment. Car la version de Curie dévoilée au CES était un
prototype. Intel promet toutefois de lancer un produit fini dans le courant du
deuxième semestre 2015. Des kits logiciels spécifiques (Intel IQ Software Kits)
sont mis à disposition des développeurs pour tirer parti des fonctionnalités de
Curie. Intel a d’ores et déjà engagé
un partenariat avec le fabricant de lunettes Oakley qui va intégrer Curie dans
un "produit intelligent" dont la sortie est prévue cette année et qui sera
destiné à "améliorer les performances des athlètes". Source : Futura Sciences du
9 janvier 2015 (http://www.futura-sciences.com/magazines/high-tech/infos/actu/d/technologie-ces-2015-curie-micro-ordinateur-taille-bouton-56686/)
Appelé Curie, l'objet high-tech comprend un microcontrôleur Quark SE, de la
mémoire flash,
une connexion Bluetooth et divers capteurs de mouvements.
Son but : équiper les petits objets connectés comme les bracelets ou les
vêtements
Il intègre un processeur, de la mémoire de stockage, un module Bluetooth, un
accéléromètre et un gyroscope.
Ce micro-ordinateur basse consommation qui peut fonctionner avec une pile bouton
devrait équiper des objets connectés tels que des montres, des bracelets, des
lunettes ou des vêtements.
Un ordinateur imbattable au poker
News # 1464 insérée le 11 janvier 2015 dans la catégorie Informatique
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Des chercheurs
de l'Université de l'Alberta ont développé un ordinateur capable de battre les
meilleurs joueurs de poker.
Michael Bowling et son équipe de recherche ont
créé un algorithme permettant de gagner à coup sûr en
duel (heads-up) au Texas Hold'em. L'ordinateur analyse tout l'aspect
mathématique du jeu et va même jusqu'à bluffer si le programme lui demande de le
faire.
Cette forme de poker tient
son nom du fait qu'elle est née dans les salles de jeu de Las Vegas. Le but
du jeu est de réaliser la plus forte combinaison de 5 cartes, appelée une
main. Pour ce faire, les joueurs disposent au départ de 2 cartes, cachées
des autres joueurs, qu'ils peuvent combiner avec 5 autres cartes qui sont
découvertes au fur et à mesure sur la table de jeu. Chaque joueur dispose
donc de 7 cartes. Lorsque la dernière carte est retournée sur la table de
jeu, le joueur qui a la plus forte main remporte la mise. Pour réaliser le programme Cepheus, les
chercheurs ont assemblé 4000 unités de processeurs. Cepheus met deux mois pour
analyser toutes les possibilités de jeu. "Un humain pourrait
s'asseoir et jouer contre le programme parfaitement pour la durée d'une vie et
malgré cela il ne serait pas garanti de gagner", explique Michael
Bowling. La durée d'une vie évoquée par Michael Bowling correspond à 70 années
consécutives de jeu, 12 heures par jour, sept jours par semaine sans aucune
interruption. Les chercheurs croient que
l'algorithme de Cepheus pourrait facilement rivaliser avec
des joueurs en ligne et être très rentable. Michael Bowling et son
équipe de l'Université de l'Alberta n'ont toutefois pas l'intention de lancer
l'algorithme en ligne. Leur but est de produire des
ordinateurs capables de prendre des décisions semblables à celles des humains. "Notre but est de faire
avancer l'art de l'intelligence artificielle." — Michael Bowling,
chercheur à l'Université de l'Alberta L'algorithme Cepheus n'est qu'un début.
Il pourrait permettre de développer des systèmes pour les postes de contrôle des
aéroports ou de la garde côtière. Source : Radio Canada du 9
janvier 2015 (http://ici.radio-canada.ca/regions/alberta/2015/01/09/004-universite-alberta-chercheur-ordinateur-cepheus-poker-texas.shtml)
Mexique : le réveil volcan Popocatepetl s'est réveillé
News # 1463 insérée le 11 janvier 2015 dans la catégorie Environnement
|
Le volcan, qui
culmine à 5 400 mètres, a projeté des cendres sur 3,5 km. Une éruption "modérée"
pour les spécialistes, mais spectaculaire.
Une explosion a secoué le volcan Popocatepetl,
situé au sud-est de Mexico. Il a craché vers le ciel un mélange de vapeur, de
gaz et de cendres sur une distance de 3,5 km. Le Centre national de prévention
des catastrophes du Mexique affirme que la quantité du mélange de cendres
projetée dans les airs était modérée. Les images, elles, sont toujours
spectaculaires. Popocatepetl est la deuxième plus haute montagne
du Mexique, avec une altitude de quelque 5 400 mètres. Mais c'est aussi l'un des
volcans les plus actifs du pays. Source : Le Point.fr du 29
décembre 2014 (http://www.lepoint.fr/environnement/mexique-le-reveil-du-popocatepetl-29-12-2014-1892783_1927.php)
Premiers pas vers des spermatozoïdes artificiels humains
News # 1462 insérée le 11 janvier 2015 dans la catégorie Santé
|
Des chercheurs
sont parvenus à créer des cellules génératrices de spermatozoïdes à partir de
cellules de la peau.
Les cellules germinales
primordiales reprogrammées à partir de cellules de la peau Les progrès effectués dans la reprogrammation de
cellules souches ces dernières années offrent des perspectives enthousiasmantes
pour la médecine régénérative. Après les neurones, les cellules cardiaques ou
rétiniennes créées sur mesure à partir de cellules de la peau ou du sang, c'est
au tour des cellules reproductrices. Des chercheurs
britanniques et israéliens ont en effet réalisé la prouesse de produire de
cellules génératrices de gamètes (spermatozoïdes et ovocytes) à partir de
cellules de la peau. La manipulation, présentée dans la revueCell,
consiste dans un premier temps à transformer des cellules de la peau en cellules
souches dites "cellules souches pluripotentes induites
(IPS)". À l'instar des cellules souches embryonnaires,
ces cellules IPS peuvent ensuite être "reprogrammées" en
cellules à fonction spécifique. Dans le cadre de ces travaux en
laboratoire, elles ont été transformées en cellules germinales primordiales. Ces
cellules présentes très tôt chez le fœtus évoluent selon le sexe de ce dernier
en spermatogonies ou en ovogonies, qui donneront les spermatozoïdes et les
ovocytes à l'adolescence. Le gène SOX17 Pour reprogrammer une cellule-souche dans le sens
souhaité, les chercheurs font s'exprimer certains gènes précis. C'est
l'identification de ces gènes, parmi les 30 000 du corps humain, qui constitue
le principal défi. Ici, l'équipe du Pr Azim Surani, qui a travaillé trois ans
sur le projet, s'est aperçue du rôle clé d'un gène, appelé SOX17, pour la
formation des cellules germinales primordiales humaines. Ces travaux font miroiter la possibilité, un
jour, de remédier à certaines formes de stérilité en
créant en laboratoire des spermatozoïdes ou des ovules présentant le patrimoine
génétique du futur parent - un avantage indéniable au regard du don
de gamètes tel qu'il est pratiqué actuellement. Les chercheurs rappellent
toutefois que cette découverte reste très préliminaire.
"Nous devons encore procéder à de nombreuses expériences, notamment sur
l'animal, pour vérifier que cette technique peut être appliquée à l'homme. Il
faudra également prendre en compte les questions éthiques soulevées par
l'utilisation de gamètes artificiels", souligne le Pr Surani, du
Gurdon Institute à l'université de Cambridge (Royaume-Uni). Débat éthique "On est encore loin
d'aboutir à un traitement de la stérilité, mais ces travaux sont intéressants",
confirme Christophe Arnoult, directeur de recherche au CNRS (Université
Grenoble-Alpes). Ce spécialiste de la spermatogénèse met en garde contre les
fantasmes que ce type de manipulation pourrait faire naître.
"La fabrication de spermatozoïdes en laboratoire est
impossible en l'état actuel des connaissances scientifiques, puisque la
maturation de ces cellules germinales nécessite forcément qu'elles soient
réimplantées dans les testicules à un moment donné", souligne-t-il.
De même, impossible de fabriquer des ovocytes à partir d'une cellule-souche
d'homme, ou de spermatozoïde à partir de cellule de femme, précise le Pr Surani. Christophe Arnoult ajoute que la fabrication de
gamètes par cette technique soulève des questions éthiques spécifiques, du fait
de l'usage auquel ils sont destinés. "Les résultats
publiés montrent que seulement 30% des cellules manipulées donnent le résultat
attendu, précise le chercheur français. Cela signifie que le contrôle de
l'expression des gènes sollicités est loin d'être parfait. Le risque est double
: d'une part, ces cellules pourraient se développer de façon anarchique et créer
des cancers après leur implantation chez le futur parent. D'autre part, elles
pourraient donner des spermatozoïdes avec des erreurs génétiques et
épigénétiques, favorisant l'apparition de maladies chez l'individu ainsi conçu."
Or, si un adulte peut, en toute conscience, faire le choix de
s'exposer au risque tumoral pour augmenter ses chances d'avoir un enfant,
l'enfant à naître, lui, subira les conséquences sans avoir été consulté. Des scientifiques
japonais étaient parvenus en 2012 à produire des ovocytes de souris à partir de
cellules souches en laboratoire. Ces ovules avaient ensuite été
fécondés, donnant naissance à des souriceaux viables. Source : Le Figaro du 2
janvier 2015 (http://sante.lefigaro.fr/actualite/2015/01/02/23221-premiers-pas-vers-spermatozoides-artificiels-humains)
devront encore être implantées dans des testicules ou des ovaires pour donner
des gamètes.
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